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MISERY IS A SWEET WORD. ✟

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Mnemosyne Lockleto
Mnemosyne Lockleto

« I can dream »

Messages : 7
Age : 27


MessageSujet: MISERY IS A SWEET WORD. ✟ MISERY IS A SWEET WORD.  ✟   EmptySam 11 Aoû - 2:01

THE ORIGINAL.




Nom : Lockleto.
Prénom(s) : Nemo.
Âge : dix-huit ans.
Nationalité : danoise.
Classe : étudiante.
Arme : un lance-flamme.


BEHIND THE MIRROR


MISERY IS A SWEET WORD.  ✟   62265152

Une copie parfaite, une simple copie. Voilà ce que l’on dit, ce que l’on murmure, ce que l’on pense quand Nemo s’approche. De façon hypocrite, de façon insultant, de façon horripilant, parfois amical. Nemo n’aime pas ça. Elle n’aime pas qu’on la considère comme une simple copie, qu’on la compare sans cesse, qu’elle finirait surement comme elle. Elle ne veut pas lui ressembler, elle veut se distinguer d’elle. Ne pas penser comme elle, ne pas agir comme elle, ne pas aimer comme elle. Elle voudrait juste ne pas être parfaite, ne pas regarder ce furieux portrait de famille. Elle voudrait juste avoir un rêve, pour pouvoir attendre quelque chose de sa vie. Ce n'est que lors que l'on n'ouvre les yeux, que l'on peut clairement distinguer les choses. Nemo, Nemo, petite Nemo n'en n'as tu pas assez de vivre face à tant de mensonges ?

Nemo, c’est cette fille qui ne fait pas son âge, qui se présente devant sa classe avec sa voix haut perchée. Nemo, c’est cette fille à la silhouette menue, pas trop courbée, petite quand on prend connaissance de son âge. Mauve. Voilà ce que l’on se dit dès quand on l’aperçoit. De longs cheveux violacés entourent la petite silhouette de la fille, lui arrivant au creux des reins. Ceux-ci étaient très souvent attachés en queues de cheval, en plusieurs couettes, ou détachés en plein hiver. Il lui arrive parfois de dire que ses cheveux lui servent également de cache-oreille. Sous sa petite frange violacée, se cache des orbes bleutés plus ou moins grande, lui offrant quelques traits assez vicieux. Celle-ci contraste assez facilement avec le soleil, jouant dans des tons marines et azurs, quand le soleil tape fort. N’étant pas très friande des lunettes de soleil, la chose était facilement percevable les jours d’étés. Sa peau pas trop pâle, ni trop hâlé sied à merveille avec sa longue chevelure. Ses traits fins comme toutes personnes du sexe féminin ou androgyne, sont assez facilement reconnaissables, même si celle-ci s’énerve, elle en gardera toujours sa féminité, et sa voix un peu trop aiguë, malheureusement. A l’opposé des filles à la bouche pulpeuse, Nemo possède deux lèvres pas très très remplie, mais naturellement rosée de sorte à ce qu’elle n’use pas de gloss ou autres cosmétiques miséreux. Puis, descendons. Son cou droit et fier, ce petit décolleté qu’elle dégaine avec certaines fringues, ce décolleté auquel elle ne sent plaint pas. Son ventre tout plat, et légèrement arrondie vers le bas-ventre. Ses longues jambes pas fines du tout, les mollets quelque peu musclés suites aux nombreuses courses-poursuites. Et puis, si on la regardait de loin, elle n’avait pas une allure imposante et royale, elle n’avait pas l’air d’être arrogante et orgueilleuse. Elle ressemblait juste à une fille, un peu grande, qui donnait envie de faire la fête, et toujours. Toujours. Prête à rire.

Les fringues, c’est le dada de Nemo, son troisième prénom, son père secret. On ne le distingue pas avec la façon d’on elle se vêtit – un peu comme toutes ses mongoles vous allez dire – mais, c’est en regardant ses pieds de plus près que l’on voit que Nemo a été possédée. Les chaussures, c’est son dada, ses bébés, ses amours. Enfin, seuls ses amis peuvent connaitre les qualificatifs de ce qui vêtit ses petits petons. Des chaussures, elle en possède des milliers, vous n’avez qu’à jeter un coup d’œil et à ses deux grandes armoires dédiés à ses chaussures. Et puis, Nemo, elle au moins, elle peut poursuivre un individu en escarpins, et assommer des individus avec ses peep-toes.

BORN TO DIE..


MISERY IS A SWEET WORD.  ✟   20h6ek7

Nemo, c’est cette fille assise sur un banc, légère, sifflotant un petit air plus ou moins joyeux. A croire qu’elle se fout de tout, à croire qu’elle est seule au monde. Elle, et sa politesse un peu trop froide, désagréable. Nemo, c’est cette fille adorant le calme, et habituée aux lancées de bouquins pour les plus insolents. Nemo, elle n’a pas froid aux yeux, Nemo, elle connaît les limites du jeu. Ses orbes bleutés inspirant souvent anxiétés et pitiés, toujours fixées au sol, et où se dégage un léger air vicelard et odieux, font que Nemo peut souvent terrifier. Nemo, c’est cette pierre à l’état brute que l’on n’a pas cessé de gratter, pas vraiment meurtrie, pas vraiment morte, pas folle, non. Nemo, c’est juste un petit mensonge, une fausse chanson d’amour, parce que Nemo n’est pas parfaite non. Elle est juste odieuse dans ses mauvais temps, beaucoup trop bornée, et tellement fausse. Tellement, que l’on peine à distinguer le vrai du faux chez elle. Pourtant, elle aura beau hurlé que c’est instinctif, on lui répondra alors qu’elle est une jolie menteuse.

Pourtant, Nemo n’est pas méchante, non. Elle peut être même adorable quand vous êtes la bonne personne, même si elle possède une ribambelle de défauts. En tant qu'élève, elle fait tout pour éviter les suites en dehors des cours. Attirant un peu trop les ennuies. Pas très tolérante, il arrive qu’elle se retienne d’hurler ce qu’elle a dans le cœur – pas pour ne pas vexer, non elle s’en fout – mais par principe selon la direction, et ça, et bien ça la fait profondément chier. Ainsi, il arrive alors qu’elle se défoule sur son entourage le soir même, cet entourage qui s’est habitué depuis longtemps à la bipolarité aigüe de la jeune fille. Jeune fille, pour sa gueule de lycéenne, en effet, elle n’avait pas vraiment changée côté taille. Elle a arrêté de s’en plaindre, son égo s’en foutait alors royalement, vu la répétition du phénomène. Son égo, pas franchement grand pour en parler sérieusement, il a le fait qu’elle est quelqu’un de très égoïste, pensant d’abord à elle avant de penser aux autres. Ce fût dans des cas de forces majeurs qu’elle avait du abandonnée son égoïsme perpétuel, tellement chiant. Elle s’était sentie alors alourdie d’un poids immense. Elle avait lors conclu que ce n’était pas son truc. Enfin, la liste de défauts n’était pas encore finie, mais arrêtons-nous là. Elle ferait trop pitié, elle paraitrait plus méchante, plus arrogante. Une belle erreur.

Elle fait un peu peur, Nemo. Elle est sa dégaine de Reine arrogante et prétentieuse. Ce monde étant peuplé de pas mal d’individus concentrés sur le physique, il est alors assez facile de se donner une idée, très souvent erronée. A savoir. Non, Nemo ne cache pas une force phénoménale derrière son apparence juvénile, brisons ce stéréotype. Enfin, en oubliant les moments où elle use de sa hache. Une autre fille apparaissait alors, mais là n'est pas la question. Cette sensibilité, elle est cachée par son caractère impétueux et enflammé. En tant que nouvelle adulte, Nemo est quelqu’un de sage derrière ses décisions, ne lançant jamais des paroles insensées lors de discussions sérieuses. Cependant, elle n’en reste pas pour le moins un grand stratège, même si elle ne se distingue pas trop, pas très motivée. Malgré tout, elle est quelqu’un de profondément réaliste, presque jamais lunatique, même si elle avoue que la sensation est agréable. Nemo a horreur de montrer ses faiblesses, même si c’est prouver son humanité.

Nemo, c’est cette étoile un peu trop brillante, qui voudrait bien se réincarner en taupe à sa mort, et vivre une vie plus tranquille. Elle agace par sa présence, elle ne prévoit que l’imprévue, elle est tellement bizarre. Mais, s’il vous plait ; aimez-là pour ce qu’elle est.

Réaliste – Consciente – Bornée – Fragile – Bavarde – Menteuse – Charismatique – Egoïste – Ironique – Polie – Inflexible – Déloyale – Stratégique – Ouverte – Fausse.


THE HOT ISSUE.


MISERY IS A SWEET WORD.  ✟   Zn36vm

« La vérité, ça peut couper les mains et laisser des entailles à ne plus pouvoir vivre avec, et la plupart d'entre nous, ce qu'on veut, c'est vivre. Le moins douloureusement possible. C'est humain. Je préférais le doute à la vérité, même le doute le plus mince, le plus fragile. Oui je préférais cela, car je crois que la vérité aurait pu me tuer. »

Mnemosyne lâcha son lance-flamme, avant de se laisser tomber. Trop de choses se passaient d’un coup, elle avait du mal à les assimiler. Plus loin, Callie la fixa une ultime fois avant de disparaitre dans la pénombre. Elle ne pouvait s’empêcher d’expirer fortement, à croire que ses poumons s’étaient momentanément vidés. Ses doigts agrippèrent involontairement et violemment le col de son tee-shirt, espérant maladroitement que l’air passerait plus vite ainsi. C’était la première fois ; sa toute première Dark Hour où elle se sentait aussi sûre d’elle. Elle n’avait plus d’espoir, et Callie est venue à elle pour la lui « rendre ». Ce n’était pas grand-chose pourtant. Juste un « Réveille-toi Nemo, ça ne te ressemble pas. » Elles ne se connaissaient pas vraiment, mais Callie semblait lire en elle. Et c’était horriblement déstabilisant. Ses paumes embrassèrent le bitume, alors qu’elle ne désirait qu’une seule chose : dormir. Elle résista et se redressa, ses paupières alourdies. Le coup du « ma vie défila alors brutalement sous mes yeux » était beaucoup trop cliché, alors nous allons juste dire que de vagues souvenirs s’emparèrent d’elle, alors qu’elle rentrait chez elle. Et Dieu qu’elle détestait ça. Le passé n’était que futilité. Ne mens pas, Nemo.

Ravenna Lockleto aimait beaucoup passer sa main dans les cheveux prune de sa minuscule fille. On ne pouvait appeler ça « habitude », elle n’aimait pas prononcer ce mot. « Habitude » sonnait comme « lassitude », « amertume ». Ravenna les aimait simplement, puis pressait le corps frêle de sa précieuse fille contre elle, lui transmettant sa chaleur, et tout l’amour qu’elle pouvait lui offrir. Cela sonnait comme un funeste adieu, comme si du jour au lendemain, elle disparaitrait. Mnemosyne, elle, ne disait rien quand sa mère l’enlaçait. Elle ne brisait jamais ce silence quasi-religieux qui s’instaura quand sa mère l’entourait de ses bras, elle ne souriait pas. Lassitude, dirait-on. Ce n’est pas qu’elle avait trop sourit, ce n’est pas parce qu’elle faisait une surdose d’amour – on ne faisait jamais de surdose d’amour – mais elle n’arrivait pas à différencier la mère froide et amère qu’elle trouvait, et se transformant en mère affectueuse et câline sans l’avertir. Et puis, Mnemosyne se demandait souvent pourquoi sa mère ne faisait pas pareil avec sa grande-sœur. Elle sentait les regards brûlants de Trinity s’imprimer sur sa peau quand elle passait près d’elle. En fait, Mnemosyne avait toujours l’impression d’être traitée comme un simple pantin de bois. Mais, elle était docile, muette. Elle n’avait jamais songée à se rebeller comme Pinocchio. Et puis, elle était si petite.

Pour certaines personnes, on devenait une personne mature en fumant des gauloises ou en enculant le monde, au sens propre comme au sens figuré. D’après ces personnes, c’était source de pouvoir, avant de se renfermer dans leur mutisme. Et puis, il y avait ces personnes. Ceux qui devenait chef de famille beaucoup trop tôt, et ceux qui vivait dans un environnement hostile, ou tout simplement invivable pour élever un enfant de façon décente. Ça grandit, ça murit de l’intérieur. Parfois, c’était effrayant, mais on s’en sortait. On n’avait pas le choix. Mnemosyne, elle, ne s’était pas renfermée sur elle-même. Elle ne voyait tout simplement pas l’intérêt de déprimer. Alors, quand sa mère quitta le domicile familial du jour au lendemain, elle réprima un lourd sanglot, et elle courut se réfugier dans les bras de sa grande-sœur. Trinity la rejeta brutalement, crachant maintes et maintes insultes. Mnemosyne, elle, n’arrivait juste pas à parler. Elle voulait lui dire qu’elle n’était pas un simple bouche-trou pour elle, et qu’elle l’avait toujours aimée. Peut-être que si elle lui avait dit un plus tôt, Trinity l’aurait simplement acceptée. Son père, lui, faisait le mort. Il s’effaçait à longueur de temps. Mais oublions-le, il n’en valait pas la peine. C’était assez drôle à voir, en fait. On pourrait croire que Mnemosyne aurait traversé un stade post-dépressif, serait devenue gothique pour compenser sa peine, ou se serait tout simplement taillader les veines, mais non. Mnemosyne se faisait rien, elle se prenait tout en pleine face, n’évitait jamais. C’était dur, impitoyable, agressif. Ses yeux bleus étaient devenus alors aussi secs qu’un désert. Elle s’en était presque endurcie. Enfin, ce n’était pas très étonnant. Pourtant, une étrange lueur traversait parfois ses pupilles. Derrière sa moue, on aurait cru qu’elle criait. Qu’elle hurlait son désespoir.

« Tu la ressens, n’est-ce pas ? Tu la ressens, je le sais, je le vois à travers ton regard. » « Je ne sais pas ce que vous voulez, mais. Qu’est ce que vous faites chez moi, bordel ?! » La blonde avait sourit, puis s’était machinalement enfoncée dans le sofa crème. Mnemosyne la fixait comme si elle venait d’une autre planète. En même temps, elle n’avait rien à faire ici. Tout avait commencé par une sensation bizarre. L’air lui avait brusquement manqué, et elle s’était sentie oppressée de toute part. Elle brûlait de l’intérieur. Et puis elle le vit. Elle s’était brusquement figée, et après avoir réalisé, elle poussa brusquement un cri. La blonde débarqua un peu plus tard, et la sauva. Enfin sauver. Ce verbe était un grand mot. Finalement, la blonde l’avait suivie jusqu’à chez elle. Pas que ça la gênait, non. C’était juste une nuisance. « Je m’appelle Calliopée Lewis. Mais tout le monde m’appelle Callie. » « Je veux pas le savoir. Qu’est ce que tu ne comprends pas dans les mots « qu’est ce que tu me veux ? » Callie » « On est pareil. » « Change pas de sujet. … Comment ça ? » « On est pareil. Tu arrives à ressentir la vingt-cinquième heure, comme moi. » « Pardon ? » « La vingt-cinquième heure, la dark-hour. … Attend, je vais t’expliquer. » Au début, Mnemosyne n’y avait pas cru, soyons en certain. Mais dès sa seconde dark-hour, seule, elle finit par faire confiance en la dénommée Callie. Ces histoires de Shadow, d’énergies et tout le bazar, vous voyez. Ça lui passait par la tête. Et elle n’assimila pas tous les premiers jours, toujours obnubilée par la soudaine peur qui lui agrippée les tripes. Ce cirque dura deux semaines. Deux où elle a du faire face à ses dark-hour, aussi soudaines qu’effrayantes. Et puis, ce soir-là arriva enfin. « Vas-y Nemo ! Utilise l’énergie, crois-le ! » Mnemosyne s’était toujours demandée comment Callie arrivait à utiliser l’énergie s’en pétait un câble. L’habitude ? Surement. L’ombre de feu, comme elle le surnommait, refit surface et se dressait contre elle. Ce n’était pas la première ombre qu’elle vit, mais cette dernière lui avait laissée un arrière goût amer qu’elle n’était pas prête d’oublier. « Bordel Nemo ! Tu peux le faire, je le sais ! » Souvent, Callie parlait un peu trop. Un grognement sourd s’échappa de ses lèvres, et pour la première fois, elle le sentit. L’énergie. Elle avait réussit à créer un putain de lance-flamme. « Vas-y Nemo ! » Cria une ultime fois Callie, succombant alors à l’excitation.

Et nous revenons à la case départ, à l’origine de tout. Callie ne revint pas la voir. Ni le lendemain, ni plus tard. Mais une étrange organisation prit contact avec elle. C’est ainsi qu’elle quitta sa ville, sa pseudo-famille, et toute son existence pour Eden. Eden, hein. Ça sonnait de façon étrange. C’était doux, mais on pouvait ressentir quelque chose d’empoisonner à l’intérieur. Mnemosyne succomba.

La scène est fixée, l’histoire peut commencer.

Derrière l'éblouissant écran.






Pseudo(s) : SU. SU. SUUUU. SUPERBIIIIIII. (become a heero, plz.)
Âge : bientôt sixteen.
Tu as connu le forum comment ? : un partenariat.
Une suggestion ou un avis sur le forum ? : ... nan mais bitch please quoi. j'ai du me forcer à lire INTEGRALEMENT le contexte parce que je comprenais que dalle. PREMIERE FOIS QUE CA MARRIVE. MAIS J'AI COMPRIS. \o/ et le fo roxx de trop, bravo. il a intérêt à rester TRÈS longtemps actif. yay. >D



Dernière édition par Mnemosyne Lockleto le Dim 26 Aoû - 21:49, édité 6 fois
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Aëlys Lowell
Aëlys Lowell

« Just a Queen »

Messages : 132


MessageSujet: Re: MISERY IS A SWEET WORD. ✟ MISERY IS A SWEET WORD.  ✟   EmptySam 11 Aoû - 19:00

YEAAAAAAH NEMOOOO. *HIGHFIVE*
Bienvenue sur le forum ! T'inquiète pas pour ton avatar. CA VA ARRIVAY AUJ'. |D
Si t'as des questions ou quoi que ce soit patati patata patatouille, hésite pas à envoyer un MP à Nate ou moi.~
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Mnemosyne Lockleto
Mnemosyne Lockleto

« I can dream »

Messages : 7
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MessageSujet: Re: MISERY IS A SWEET WORD. ✟ MISERY IS A SWEET WORD.  ✟   EmptySam 11 Aoû - 21:46

yay merci. j'avance bien. >D
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Lumen Clyde
Lumen Clyde

« Run run hic »

Messages : 41
Age : 28
Localisation : Sous son lit.


MessageSujet: Re: MISERY IS A SWEET WORD. ✟ MISERY IS A SWEET WORD.  ✟   EmptyDim 12 Aoû - 3:37

I swear to God, if it's you, i'll become crazy.

Bienvenue, premièrement. ♥ Secondement... A tout hasard, le pseudo Midnight te dit quelque chose? Si oui. J'm'étouffe de surprise et de sentiments mitigés. Honestly.
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Mnemosyne Lockleto
Mnemosyne Lockleto

« I can dream »

Messages : 7
Age : 27


MessageSujet: Re: MISERY IS A SWEET WORD. ✟ MISERY IS A SWEET WORD.  ✟   EmptyDim 12 Aoû - 22:00

huhu Lu. ♥

voilà, fiche terminée. Histoire un peu baclée certes, j'espère que ça ira. o/
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Alice A. Baskerville
Alice A. Baskerville

« I roxx, you sucks »

Messages : 129
Age : 26
Localisation : Dans les étoiles ♥


MessageSujet: Re: MISERY IS A SWEET WORD. ✟ MISERY IS A SWEET WORD.  ✟   EmptyDim 12 Aoû - 22:02

Welcome Némooo O/
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Mnemosyne Lockleto
Mnemosyne Lockleto

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MessageSujet: Re: MISERY IS A SWEET WORD. ✟ MISERY IS A SWEET WORD.  ✟   EmptyDim 12 Aoû - 22:26

Merci Aliceeee. >D
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Mnemosyne Lockleto
Mnemosyne Lockleto

« I can dream »

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MessageSujet: Re: MISERY IS A SWEET WORD. ✟ MISERY IS A SWEET WORD.  ✟   EmptyDim 19 Aoû - 21:02

juste au cas où le mp ne suffirait pas ; ne m'oubliez pas. ♥
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Nate R. Evans
Nate R. Evans

« Take a taste of my knife »

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MessageSujet: Re: MISERY IS A SWEET WORD. ✟ MISERY IS A SWEET WORD.  ✟   EmptyDim 19 Aoû - 22:36

Alors déjà, désolé pour ce temps de réponse. J'ai eu besoin de l'avis d'Aëlys sur quelques points. Il en est ressortit que ton arme ne peut être validée, en vu du fait que la création du feu est impossible : nous réservons ceci aux Shadows. J'espère que tu comprendras !

Sinon, ton histoire ne me pose plus de problèmes, j'attends donc la modification de l'arme pour pouvoir te valider !
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